« Où j’ai foutu le pot de confiture »
ou petite histoire constructiviste matinale amenant à une analogie avec l’approche systémique stratégique
Développement professionnel des acteurs du changement
« Où j’ai foutu le pot de confiture »
ou petite histoire constructiviste matinale amenant à une analogie avec l’approche systémique stratégique
Qu’est-ce que ça peut faire que l’on ait parlé d’agilité avant le manifeste agile de 2001 ? C’est bien dans l’IT que l’agilité est devenue populaire, non ?
Qu’est-ce que ça change qu’on parle de « méthode » ou de démarche agile » ?
SI ça vous intéresse, j’ai peiné pour tenter d’apporter un éclairage sur ces deux questions.
Et comme vous avez sans doute mieux à lire, j’ai commencé par la conclusion !
Je tente d’éclairer deux confusions :
1. Non, l’agilité n’est pas née en 2001 avec le manifeste agile, c’est l’objet du présent article
2. Non, l’agilité ne s’obtient pas via des « méthodes », un second article traitera de ce point.
Et oui, je pense que c’est important d’apporter ces précisions 🙂
Je m’expliquerai dans le second épisode…un peu de teasing…
Après avoir introduit le modèle des 4 types de relations dans l’article précédent, je propose maintenant de décrire chaque type en proposant des liens avec les transformations agiles…
Je propose dans cet article de décrire une typologie utilisée en approche systémique afin de structurer l’analyse de types de demandes différentes.
Bien entendu, la transformation agile n’est pas de la thérapie. Cependant la nature de la relation entre l’intervenant et le système/client accompagné joue quand même un rôle essentiel…
En mai 2020, Olivier My a traduit le énième témoignage d’un ex-salarié de Spotify dénonçant le mythe du “modèle Spotify” : “Failed #SquadGoals” (avril 2020). La lecture de la traduction d’Olivier “L’échec du modèle Spotify”, m’a amené à rédiger deux articles.
Dans ce premier article, nous allons voir comment le « modèle Spotify » tente de résoudre un problème d’organisation inhérent à la notion même d’entreprise. Je suggère que ce questionnement est l’expression d’une polarité et présenterai les conséquences en terme de « solution ».
En mai 2020, Olivier My a traduit le énième témoignage d’un ex-salarié de Spotify dénonçant le mythe du “modèle Spotify” : “Failed #SquadGoals” (avril 2020). La lecture de la traduction d’Olivier “L’échec du modèle Spotify”, m’a amené à rédiger cet article.
À prendre ou à laisser ? Pour ou Contre ? Utile ou pas ?
Il ne s’agit pas ici de décrire ce “modèle”, mais d’étudier les arguments en sa faveur ou pas et de proposer quelques questions à se poser en cas de décision d’adoption…
Au fil de trois articles, je propose de considérer que plutôt que de se plaindre de paramètres hors de contrôle (culture d’entreprise “défaillante”, managers “toxiques », employeurs ”bornés”…), le coach agile puisse effectuer un travail réflexif sur son propre positionnement…
Dans cette dernière partie, j’interroge l’élaboration de l’identité professionnelle : Coach agile, comment te vois-tu ?
Dans la première partie de cet article, « Coach agile, d’où viens-tu ? », en retraçant les grandes étapes de l’émergence de la profession de « coach agile », nous avons insisté sur la tension inhérente, dès l’appellation, entre posture haute et basse. Nous allons voir comment dans les dernières années, sous l’influence de plusieurs facteurs, cette tension s’est renforcée, contribuant encore plus à brouiller les repères…