Pour Roger Federer, le tennis est à 70 % une question de mental. Au début de sa carrière, il dominait mal ses émotions et pouvait perdre des matches en se laissant gagner par la colère suscitée par ses erreurs dans le jeu. Il explique qu’un tournant dans sa carrière s’est produit lorsqu’il a accepté les erreurs comme partie intégrante du processus d’apprentissage et d’amélioration
