Développement professionnel des acteurs du changement
L’IA va-t-elle nous remplacer ? Mauvaise question.
La menace, c’est la standardisation de nos comportements pour nous rendre prédictibles et monétisables.
L’ANSE (Association Européenne des Organisations Nationales de Supervision et Coaching) vient de le rappeler au Parlement Européen : notre compétence la plus précieuse, c’est la réflexivité.
Fatigué du débat « pour ou contre » l’IA ?
Cet article explore les « mythes du contrôle » réactivés par ces débats.
S’inspirant de la découverte du feu chez Roy Lewis , il propose une autre voie : cesser de vouloir maîtriser l’IA pour apprendre à « composer avec sa complexité » et agir localement.
« C’est débile de dire ‘tu’ et ‘merci’ à une machine ! »
L’argument revient sans cesse : parler poliment à l’IA serait de l’anthropomorphisme naïf, une projection délirante sur un simple outil algorithmique.
Et si on voyait ça autrement ?
Comment nos interactions avec l’IA révèlent-elles nos relations humaines ?
Cet article explore l’anthropomorphisme, la synchronisation affective de l’IA et l’asymétrie troublante de nos échanges.
Une réflexion sur la complexité d’être consultant en relations humaines… et extra-humaines.
L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de prospective : elle est présente dans nos outils, nos échanges, notre quotidien.
Mais au-delà de ses prouesses techniques, que peut apporter l’IA à la pratique humaine de l’accompagnement, et plus particulièrement au regard systémique porté sur l’entreprise ?
C’est ce qu’explore cet article…
Entrer dans une danse avec l’oubli, l’IA comme miroir de nos mémoires éphémères.
J’explore dans cet article une étrange beauté où chaque conversation devient un instant précieux, sans passé ni futur.
Comment l’amnésie se transforme en un outil puissant, une danse unique avec l’éphémère…
Je vous invite à plonger avec moi dans cette collaboration inédite.
Quand deux personnes parlent du « même sujet », parlent-elles vraiment de la même chose ?
L’effet Rashomon met en lumière nos récits divergents.
Si cette diversité, constitutive de l’humain, révélait ce qui nous distingue (encore) des intelligences artificielles ?
Christophe Keromen Transformation & Impact 