Développement professionnel des acteurs du changement
L’approche systémique propose une vision intégrée des phénomènes, s’articulant autour de trois niveaux logiques : le cœur, qui définit les paradigmes; les approches spécifiques par domaine; et les outils pratiques et structuration en « méthodes ».
Promouvant une posture de facilitateur plutôt que d’expert, cette démarche nécessite un alignement entre les 3 niveaux …
Autrement dit l’outil ne fait pas la systémique.
Dans le premier article, à partir de l’expression de la frustration d’Anthony, nous avons identifié quelques pièges qui guettent l’acteur du changement face à l’immobilisme.
Dans ce 2ème article, nous allons revenir sur le piège de la réification ou chosification : croire à l’existence réelle d’un concept. Puis nous tenterons d’appliquer un regard systémique à la situation d’Anthony…
Partant de la frustration exprimée par Anthony, coach agile, face à la “fausse agilité” dans les organisations, une série de trois articles propose une lecture systémique de la situation.
Ce premier article permet d’identifier les pièges potentiels de la désignation de coupables, de la réification de l’agilité, et de l’ignorance des signaux sur les polarités organisationnelles…
Une question revient souvent chez les professionnels intéressés par notre parcours de formation avec Marc Brunet :
pourquoi proposons-nous cette structure particulière pour développer un regard systémique ?
➡️ la réponse dans cet article
Les acteurs du changement sont inévitablement confrontés à des conflits.
Au lieu de les considérer comme des problèmes liés aux individus, en adoptant un regard systémique, ces tensions peuvent révéler des problèmes de communication et des désalignements stratégiques, permettant ainsi de transformer les conflits en leviers de transformation organisationnelle.
La différentiation est un filtre influent dans les relations d’accompagnement, qu’elle se manifeste par la mise en avant ou mise en retrait.
Cette dynamique, souvent inconsciente, peut enrichir ou compliquer les interactions.
La réflexivité est essentielle pour reconnaître et gérer ces influences dans la pratique de l’accompagnement.
On en parle dans cet article !
Combien de fois par jour commencez-vous automatiquement vos questions par “est-ce que…” ?
Sans y penser ?
Ce réflexe, utile pour cadrer ou clarifier, peut aussi limiter vos échanges, surtout en contexte d’incertitude ou fortement émotionnel.
On regarde ça dans cet article…
En tant qu’acteurs du changement, nous faisons face à des situations de tensions. Quand malgré nos efforts, la situation n’évolue pas, ces tensions s’accentuent…
👀 Si nous changions notre regard en nous laissant guider par le Carré magique Systémique ?
Après une présentation des 4 domaines qui constituent le CMS, nous l’appliquerons au cas de Clara, une coach d’équipe.
Clara est confrontée à une équipe de gouvernance tiraillée entre des objectifs contradictoires…
🧨 Toi aussi tu veux faire le buzz ? Tapes sur les coachs !
Quand les organisations vont mal, il faut bien trouver un coupable.
Et quoi de mieux que le coach comme bouc émissaire idéal ?
👉 Trop souvent, les discours critiques envers le coaching relèvent d’une simplification extrême :
du simplisme, des amalgames, et la brillance de la rhétorique à défaut de la réflexion constructive.
Efficace au démeurant…au moins pour que pour nos « bien-sachants » vendent des bouquins et occupent l’espace médiatique 🙂
📣 Dans cet article, je soigne mon énervement en explicitant mécanique et posture des « bien-sachants » :
• la valse du scénario récurrent : 1) dénoncer, 2) désigner, 3) se poser en sauveur.
• L’imposture de la généralisation : “Il y a les bons coachs… et les mauvais coachs”
Et si on dépassait les raccourcis linéaires pour élargir et explorer la complexité avec une approche pluridisciplinaire et systémique ?
#Coaching #Leadership #Complexité #Management
Christophe Keromen Transformation & Impact 